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Comment booster les défenses immunitaires de son cheval ?

L’apport en nutriments de votre cheval varie selon les saisons. Compléter la ration d’un cheval est un excellent moyen de prévenir l’anémie et la perte de poids et assurer une bonne défense immunitaire. A l’automne, l’herbe est moins grasse et la teneur en minéraux et oligo-éléments est réduite, et un manque de vitamines peut fatiguer votre cheval alors que son corps a besoin de se faire un poil d’hiver. La différence de température et d’humidité peut provoquer de petits coups de froid, et votre cheval peut tousser ou se moucher.

Quelles sont les principales causes de déficience immunitaire chez le cheval ?

Tout comme chez l’homme, il arrive que le système immunitaire d’un cheval soit défaillant. On définit cela par un deficit immunitaire : lorsque l’un des composants du système de défense est absent ou déficient, il ne protège plus son hôte efficacement. Une déficience immunitaire peut entrainer plusieurs pathologies.
Les raisons peuvent etre nombreuses mais la dificience immunitaire chez le chevale est souvent du à un défaut des cellules immunitaires ou à des facteurs environnementaux.
 
 

Les principaux facteurs environnementaux en cause chez le cheval

  • Le déséquilibre nutritionnel ou mauvaise alimentation : carences alimentaires, alimentation oxydante, sous-nutrition, sur-nutrition, problèmes d’assimilation…
  • L’exposition au froid et à l’humidité. Avoir froid pourrait affaiblir les défenses naturelles et rendre les chevaux plus vulnérables aux infections.
  • Le stress chronique et la suractivité qui affaiblissent également les défenses et la capacité du système immunitaire à réagir.

 

Comment renforcer et préserver le système immunitaire du cheval ?

Comme pour les humains, Le système immunitaire du cheval évolue avec l’âge et se développe au gré des contacts avec les microbes. Avec l’âge, le système immunitaire s’affaiblit et rend plus vulnérable son hôte. En plus de l’âge, le stress, une alimentation déséquilibrée ou carencée et le surmenage sont des facteurs qui concourent à affaiblir les systèmes de défense de l’organisme.
 
( source information : https://www.horseupnutrition.com)
 

Suivez les règles de base pour maintenir une bonne résistance immunitaire à votre  cheval

La protection face au froid

Protégez du froid, de l’humidité, des courants d’air votre cheval avec des accessoires courants comme les couvertures d’extérieurs ou d’écurie, couvertures séchantes, couvertures polaires en cas de grand froid.

protection cheval couverture séchante

Cette couverture séchante est réalisée en tissu éponge microfibre . Avec son couvre-cou dissimulable, votre cheval sera sec en un rien de temps, évitant que vos couvertures d’écurie ne deviennent humides et mouillées, absorbant l’humidité pour laisser une finition brillante et lisse. Les sursangles croisées élastiques et le devant multi-fit ajustable assurent un contact étroit avec le cheval

 

Maintenir une pression microbienne basse

  • dans l’environnement en veillant à l’hygiène des bâtiments et du matériel (mots, mangeoires, abreuvoirs), en assurant un bon recyclage de l’air via une ventilation adaptée et en limitant le nombre d’animaux dans un espace restreint.

 

aménagement box cheval

Fournir une alimentation saine, équilibrée et adaptée

En fonction du métabolisme et de l’activité du cheval. Il est important de choisir une alimentation adaptée à son âge, à son niveau d’activité et à son état de santé :

 

  • Les aliments les plus sains pour les chevaux sont les fourrages, les grains et les légumes. Les fourrages les plus nutritifs pour les chevaux sont les herbes, les foins et les fanes. Les grains et les légumes peuvent être complémentaires à l’alimentation du cheval, mais ne doivent pas être sa principale source de nourriture. 
  • Les aliments les plus riches en calories sont les grains, les oléagineux et les sucres. Les chevaux en bonne santé et peu active ont besoin d’une alimentation riche en calories pour maintenir leur condition corporelle. Les chevaux en surpoids doivent être alimentés avec une alimentation pauvre en calories pour perdre du poids.
  • Les aliments les plus riches en vitamines et en minéraux sont les fruits et les légumes. Les chevaux en bonne santé n’ont pas besoin de compléments vitaminiques et minéraux, car ils peuvent obtenir toutes les vitamines et minéraux dont ils ont besoin à partir de leur alimentation. Les chevaux malades ou en convalescence peuvent avoir besoin de compléments vitaminiques et minéraux pour aider à la guérison.

 

Limité les facteurs de stress (aigus ou chronique)

Dans une revue réalisée par l’INRA sur les conséquences du stress sur la fonction immunitaire chez les animaux d’élevage, il a été mis en évidence que le stress peut inhiber le développement de la réponse lymphocytaire à un antigène, par exemple une réponse vaccinale. Les conditions d’élevage ou la survenue d’événements stressants influencent donc le système immunitaire, notamment dans le cas de facteurs de stress aigus, répétés ou chroniques.

 

Comment réduire le stress chez le cheval ?

Conseils vétérinaires : vet.arioneo.com

Le cheval est un animal naturellement stressé, sa survie dépendant à l’origine de sa capacité à fuir. Son caractère naturellement anxieux démultiplie les sources potentielles de stress, bien que chaque cheval ressente et réagisse différemment au stress. Ce dernier peut être bénéfique pour l’animal, mais il peut aussi avoir des effets néfastes sur sa santé et ses défenses naturelles.

L’environnement, le cavalier, la compétition, l’alimentation, l’isolement etc. influencent le niveau du stress d’un cheval.  Analyser le stress est une tâche complexe car il peut avoir des effets cumulatifs, et, en impactant à la fois le mental et la condition physique du cheval, il englobe les aspects psychologiques et physiologiques. 

Deux grands types d’adaptation au stress ont été identifiés chez les chevaux :

  • l’adaptation “proactive“, qui consiste à essayer de trouver activement une solution au problème 
  • l’adaptation “réactive“, qui consiste à accepter passivement la situation (Ijichi et al, 2013).

Plusieurs techniques peuvent être utilisées pour impacter positivement le niveau de stress d’un cheval. 

Alimentation et mode de vie

L’alimentation peut être une source non négligeable de stress chez le cheval mais l’adaptation de ses repas peut aider à l’atténuer. En effet, certains chevaux préfernet être alimentés à une heure fixe. Pour d’autres chevaux, un accès constant au fourrage et à une diversité de fourrage (Thorne et al, 2005), dans la mesure du possible, peut réduire leur frustration et favoriser la production de sérotonine (Alberghina et al, 2010).

En plus d’une alimentation adaptée, les compléments alimentaires à base de magnésium, tryptophane, vitamines B, l’homéopathie et/ou la phytothérapie, traitement à base de plantes  peuvent être de bons moyens pour diminuer le stress chez le cheval

Enfin, l’augmentation de la fréquence de travail en extérieur et de sortie au paddock peut atténuer le niveau de stress du cheval, tout comme l’aménagement de son milieu de vie afin d’éviter au maximum l’ennui (ballon, jouet, peluche,…).

jouet pour cheval

Si votre cheval à tendance à s’ennuyer dans son box, ce jouet pour cheval relaxant est le compagnon d’écurie idéal! Ce jouet n’est pas seulement agréable à regarder, il donne aussi aux chevaux un moyen de s’amuser. Lorsque le cheval exerce une pression sur le ventre du jouet, il produit un son de plastique écrasé, qui intrigue beaucoup les chevaux.

Techniques de relaxation

Plusieurs techniques de relaxation sont connues pour réduire le stress d’un cheval, comme les massages (McBride et al, 2004), le frottement sur le garrot du cheval (Feh et de Mazieres, 1993 ; Normando et al, 2003 ; Payne et al, 2015), ou tout simplement le pansage. En action préventive, il est aussi possible d’utiliser des phéromones sous forme de gels, à étaler sur les naseaux avant un événement stressant.

 

 

 

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